Le précepte "on n'est jamais mieux servi que par soi-même" n'est-il pas un parfait exemple de pessimisme ?
Au déjà de l'idée primaire juste comprise par 80% de la population je me suis toujours demandé "quand" l'homme a-t-il compris que l'humanité se partageait en deux ? Entre ceux qui agissent et les autres.
Alors seulement j'ai senti que cette idée englobait tous les travers humains (Car c'est bien de cela que l'on parle). Et pas seulement la complétude individuelle de sa propre existence.. (Car pourquoi ce précepte sinon pour aider autrui ?)
L'immaturité, quelle soit du à un défaut de relation affectif ou amoureuse chronique, à un manque d'éducation ou à un sectarisme primaire.
L'égoïsme, qui de fait est el principe inverse même de l'aide communautaire. L'idée directrice étant continuellement "Que cela va-t-il me rapporter ?”
Le manque d'esprit, que je sépare de l'immaturité car je le considère ici comme une malversation de l'esprit. Un enfant manque d'esprit par défaut d'une "assez longue" éducation. Alors que pour un "imbécile" (Veuillez pardonner ma sombre facilité) c'est par le terme "mauvais, méchant" qu'il lui manque de l'esprit.
Cette liste présentée ici de manière non exhaustive, pourrait être recoupé avec les personnes qui sont morts pour les autres, tel Martin Luthen King, plutôt que les autres mourant pour ces mêmes leaders.
Que devons-nous faire alors ? Il serait tellement plus simple de n'oeuvrer que pour soi-même..
Je n'ai pas de réponse.. Que des interrogations..
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