La crise chez les NAPPY

La crise est pour tout le monde même pour les habitants d'une des villes les plus riches de France soit Neuilly-sur-seine.

Charlotte, NAPPY en puissance (NAPPY pour Neuilly, Auteuil, Pereire, Passy), raconte les petits tracas de sa vie durant la crise... Voici un extrait :

Elle fait donc connaissance avec les plats surgelés, les boîtes de saucisse-lentilles et les salades sous plastique. Et en profite pour congédier la femme de ménage: « Trois heures par semaine, environ 300 euros par mois une fois les déductions d'impôts faites. Mais je crois que je vais la rappeler : ce n'est pas pour moi, c'est pour elle, je suis sa troisième patronne à m'en séparer à cause de la crise. Elle va finir sans rien. Et puis j'ai cramé ma blouse Maje en voulant la repasser, je suis nulle. »


Mais il y a des dépenses auxquelles Charlotte ne peut pas (ne veut pas ?) renoncer : « J'avais mis mon sac Kelly d'Hermès en vente sur Ebay. Mais je l'ai retiré, ça me faisait trop mal au cœur de m'en séparer. » Idem pour ses mèches blondes. « Sinon, on voit trop mes racines. Mais j'ai arrêté les grands coiffeurs à 140 euros au profit de Tchip à Levallois, à côté. Pour 28 euros, des coiffeuses super sympas donnent un coup de fouet à ma couleur. Je ne peux pas non plus m'épiler moi-même, c'est trop moche : j'ai gardé mon esthéticienne, je crois que je paye 120 euros par mois en moyenne. » Ah, la crise... Si certains y laissent des plumes, visiblement, d'autres refusent d'y laisser des poils...

looooooooooooooooooooooool

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